J'ai démissionné Acte III
Chers amis nous arrivont doucement à l'épilogue!
Je me dois de préciser quelques aspects dans la mesure où beaucoup de gens arrivent par ici e nquête de réponses. Si vous savier le nombre de gens qui arrivent sur ma page en tapant " quitter l'éducation nationale et ses dérivés. Mon préféré c'est quand même celui qui tape carément " je veux partir..." ou encore bien " comment réussir à..."
Et je vous assure y a de ça. Le peu d'informations que j'avais réussi à glâner sont fausses.
ALors on annonce notre démission, dans mon cas la lettre était donnée le 22 janvier, Le 31 le rectorat vous écret par A/R, qu eje reçois aujourd'hui ( regardez en haut la date), il me de dit en gros :
Mademoiselle Pepina ,
Attention quand même réfléchissez bien.
Et là je ne resiste à vous mettre texto la phrase : "...j'estime devoir appeler votre attention sur l'importance de la décision que vous avez prise et sur la gravité des conséquences qu'elle comporte. Et bien moi voyez-vous monsieur, c'est la gravité des conséquences que comportait le fait de rester qui m'inquiète...
Ensuite: ...une fois acceptée par l'autorité compétente, la démission est irrévocable et emporte radiation des cadres.
Sans déc' mais parce que tu crois, monsieur, que j'ai pris cette décision à la légère? Mon souhaît le plus cher est d'être radiée des cadres, je vais même te dire, je suis bien contente de partir avant même d'en faire partie.
J'ai donc maintenant 15 jours pour leur faire savoir ma décision définitive. Franchement i c'es pas dépenser du papier et un timbre pour rien...
A part ça, pour me détendre je me mets à la pâte fimo.
Tiens sinon, n truc qui me fait rire, tous les profs qui croient que personne ne démissionne, à ma connaisssance, entourage proche et moyen proche, machine qui connait quelqu'un qui : je suis la 4° à démissionner...et je ne vous parle même pas des professeurs des écoles ou y en a eu plein cette année apparemmet...
enfin j'espère t'y vois plus clair petit ami qui veut démissionner! :)
et sinon patience bientôt l'épilogue!