Savez-vous qui est Michel Leiris?
Je ne savais pas. Première info : ethnologue et écrivain, et à mon avis plus ethnologue qu'écrivain... Enfin c'est l'impression qui m'est restée après avoir essayé de traduire un texte assez long de ce monsieur hier.
Pour les petit curieux allez regarder là.
Aujourd'hui version classique. je ne m'étendrai pas la dessus. MAIS! MAIS quand même, je veux vous parler d'une phrase : "yo ya estaba casi para respirar, o para hacer alguna flaqueza indigna de un hombre de pecho..." là nous nous arrêterons sur le mot flaqueza... En gros le monsieur il a eu une grosse trouille, puis il est à deux doigts de se dégonfler. Et justement en parlant de se dégonfler, j'ai imaginé, au moins pendant la première heure de l'épreuve, que notre narrateur allait lâcher une grosse flatulence. Bon voilà juste pour vous dire qu'en toute circonstance je sais rester fine et délicate.
Ce blog dérive dérive. Moi qui avais de hautes prétentions poétiques ou du moins lyriques... Quel drame.
Promis à partir de demain soir je fais un effort.
Cet après midi je comptais relire deux trois fiches et citations pour la dissert de demain, j'ai dormi un peu trop. Espérons que ce soir je dormirai.
Bien à vous,
Votre chenille préférée ( à ne pas confondre avec les horribles vers qui se baladaient sur le cadavre qui pendait de l'arbre au pied duquel dormait mon cher narrateur que je croyais aussi bouleversifié gastriquement que moi...)