BBM Juillet
"Bien des années plus tard, face au peloton d'exécution, le colonel Aureliano Buendia devait se rappeler ce lointain après midi au cours duquel son père l'emmena faire connaissance avec la glace"
( bon bah voilà 2ème plantage de l’ordi !! j’ai tout perdu)
Je disais donc, que j’avais voulu vous faire une note hautement édifiante sur la littérature latinoamériciane, Gabriel Garcia Marquez et Cien años de soledad. Et comme ça j’aurais en passant montré à madame de Keravel que parfois je peux faire tout le contraire de tout ce que j’ai dit. Et puis finalement non…
Et puis je ne sais pas si c’est la chaleur qui m’accable depuis qu’on rentré à Paris, mais la fin de la phrase vient de me rappeler quand j’allais avec mon père après l’école manger une glace manhattan. Un esquimaut pour être précise
Y avait les sorbets, j’adorais l’alfalfa (luzerne spéciale dédicace à Pinouyeu la lapine la plus sexy du web), celle à la jamaica ( ou carcadet pour flooo), celle au riz, celle à la horchata ( c’est un peu comme de l’orgeat mais c’est pas tout à fait ça, un jour si j’ai le courage je vous explique), et puis celle à la guayaba, et celle au zapote negro.
Et puis en cherchant pour vous je tombe sur le site, et là je revois les glaces aussi, et je me rappelle de celle à la noix, celle au mamey, à la cajeta confiture de lait), la spéciale Manhattan aussi et celle d’elote ( maïs)
Je ne sais pas ce que je donnerais pour en avoir une. Et pour partager ce moment avec mon père comme avant. C’était notre petit secret à nous. Il me disait « mais tu me promets que tu auras encore faim en arrivant à la maison ? » Mas bien sûr Papa !! Et puis de toutes façons ma mère pouvait pas comprendre, elle n’a jamais été fan de glaces…
C’est drôle, la chaleur, tous les bouleversements dans ma vie, j’ai plein de petits souvenirs comme ça qui reviennent. C’était quand même chouette…
Allez je vous dis un secret ? Le Mexique me manque…